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Stelior Diabète

C'est l'explosion du nombre total de cas de diabètes de type 1 chez les moins de 15 ans en Europe qui passerait de 94.000 en 2005 à 160.000 en 2020, soit un bond de 70%.  Les chercheurs estiment que l'augmentation est trop rapide pour être imputée à un seul facteur ! Comment en est-on arrivé là ? La faute à qui ? La pathologie du diabète d'aujourd'hui témoigne des changements de notre environnement, de notre alimentation et de notre façon de nous soigner en affaiblissant notre organisme.

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Stelior diabète

Lait de vache et diabète de type 1

Le public prend de plus en plus au sérieux le sujet de la consommation du lait de vache, particulièrement celui utilisé intensément dans les préparations d’aliments pour enfants en bas âge, qui représenterait un risque réel pour le développement du diabète mellitus insulino dépendant (type 1).

Plusieurs études épidémiologiques ont conclu que l’introduction du lait de vache dans les formules de préparations alimentaires pour enfants en bas âge de moins de 3 mois est en corrélation avec un plus grand risque de développement du diabète dans la vie future du nourrisson

 

Les données scientifiques ont suggéré que la réaction immunitaire de l’intestin est un facteur majeur de régulation qui détermine la nocivité due à l’exposition aux nourritures potentiellement diabétogènes.

Le système immunitaire de l’intestin a été considéré comme la première cible des constituants de la nourriture. Du fait que le système immunitaire de l’intestin comprend environ deux tiers du total des tissus lymphoïdes dans l’humain, on doit s’attendre à ce qu’une réponse anormale à la nourriture ait une répercussion à travers tout l’organisme, soit par les cellules immunitaires, qui sont continuellement exportées à grande vitesse par l’intestin, ou par les médiateurs du même système.

Ainsi, il semble que certains laits de vache ou autres composés d’alimentation ne seraient pas diabétogènes ou auto-immunogéniques de par leur « propre droit » mais que le système immunitaire de l’intestin des individus à risque de diabète ou maladie auto-immunitaire répondrait de manière défavorable à certains composés de la nourriture et d’une façon qui diffère totalement du système immunitaire d’un intestin « sain ». La variabilité de la balance immuno-régulatoire expliquerait les conséquences différentes de l’exposition aux diètes alimentaires dans les études épidémiologiques sur l’homme.

Ce qui rend le lait de vache spécial est le fait que cet aliment est la première source de protéines à laquelle les enfants sont exposés. Toutefois, parce que le mode alimentaire durant la jeunesse devrait être aussi important dans son action que la nourriture rencontrée dans l’enfance, une contribution majeure de la consommation de blé (ou soja ou autre nourriture) à la pathogenèse du diabète, devrait être aussi considérée au même niveau.

La réaction immunitaire de l’intestin est–elle un facteur majeur ?

 

Oui, et pour autant, une perspective plus large ne serait-elle pas aussi le rôle de la muqueuse de l’intestin et du microbiote qu’elle contient ? Il faut souligner l’importance du profil référentiel bactérien intestinal qui détermine l’état de maturation de l’intestin dès les premiers mois de vie de l’enfant.

On imagine alors ce qu'un traitement précoce par antibiotiques peut produire comme dégâts dans les premiers mois de vie de l’enfant, de même une exposition aux toxiques comme le mercure et l’aluminium dérivés de vaccins, surtout lors de vaccinations trop précoces.


La vaccination, dans un but préventif de maladies, se justifie mais la préservation du mécanisme de la maturation de l’intestin est encore plus importante, car de celui-ci dépendra la possibilité à l’organisme de mieux faire face aux maladies futures.

 

Pour notre microbiote également, il est très important de laisser faire une bonne colonisation bactérienne de l’intestin pour renforcer notre défense immunitaire et ainsi éviter de graves pathologies futures durant notre vie.
 

Patients diabétiques

Il fait savoir que notre système immunitaire de l’intestin comprend environ deux tiers du total des tissus lymphoïdes dans l’humain. On doit s’attendre à ce qu’une réponse anormale à la nourriture ait une répercussion à travers tout l’organisme. Les patients diabétiques montrent une réaction immunitaire exacerbée de type humoral ou cellulaire aux protéines du lait de vache. Ceci souleva le doute que le lien entre l’exposition au lait de vache et le diabète induit immunitairement serait sous le contrôle d’un ou plusieurs facteurs qui avaient été précédemment négligés et ainsi non comparables entre groupes d’une même étude.


Il est intéressant de remarquer qu’une réponse humorale précoce à l’insuline bovine a été notée chez les enfants qui avaient été exposés précocement aux formules alimentaires à base de lait de vache. Ces enfants devinrent également positifs à la présence dans leur sang d’anticorps anti-insuline de haute affinité (O. Vaarala, Helsinki).

 

 

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